TER Hommes -Femmes Marseille
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Au 31 décembre 2022, 219 000 personnes travaillent dans un des 131 300 établissements artisanaux de 0 à 10 salariés. Ces établissements génèrent 7,0 milliards d’euros de richesse, soit 18 % de la richesse dégagée par les établissements marchands de même taille. À cela s’ajoutent 2,8 milliards d’euros de richesse dégagée par les établissements artisanaux de 11 à 250 salariés, et une partie de la richesse produite par les établissements dont l’activité artisanale est secondaire.Dans les établissements artisanaux de 0 à 10 salariés, chaque emploi crée en moyenne 40 300 euros de richesse. Le bâtiment est le premier secteur en nombre d’emplois et en volume de richesse dégagée. Toutefois, c’est dans la production de biens que la productivité est la plus élevée. Plus que l’économie marchande, l’artisanat s’appuie fortement sur son capital humain pour générer de la richesse.Le poids économique de l’artisanat est plus élevé dans les territoires ruraux.
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En Provence-Alpes-Côte d’Azur, 16 % des salariés télétravaillent de manière régulière, c’est-à-dire au moins un jour par semaine. Le télétravail régulier est plus fréquent pour les personnes occupant des postes de cadre, en emploi à durée indéterminée ou travaillant dans de grandes entreprises. Les diplômés du supérieur, et dans une moindre mesure les femmes, télétravaillent plus souvent. La pratique intensive du télétravail, au moins trois jours par semaine, concerne trois télétravailleurs sur dix. Les télétravailleurs réguliers sont en grande majorité satisfaits du nombre de jours télétravaillés.
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Au premier trimestre 2025, l’économie de Provence-Alpes-Côte d’Azur marque le pas, dans un contexte national également dégradé. Dans le privé, l’activité économique, mesurée par les heures rémunérées, recule de 0,2 %. Toutefois, l’emploi salarié total est stable et le taux de chômage reste proche de ses plus bas niveaux historiques.Les dynamiques sectorielles demeurent contrastées en ce début d’année. L’activité dans l’industrie continue de croître, quoique plus faiblement. La construction reste en net repli, tant en matière d’activité ou d’emploi que de créations d’entreprises. L’activité dans le tertiaire marchand fléchit également. Sur un an, ce secteur enregistre sa première baisse d’emploi depuis 2020. Le tertiaire non marchand se redresse, avec une reprise de l’activité et de l’emploi, notamment dans la santé et l’action sociale.Dans ce contexte, les créations d’entreprises sont en baisse. Les défaillances d’entreprises reculent ce trimestre, en particulier dans l’industrie et les transports. Elles demeurent toutefois à un niveau élevé dans l’immobilier.
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En 2024, l’économie de Provence-Alpes-Côte d’Azur évolue dans un contexte national de ralentissement généralisé, et en suit les tendances même si elle résiste mieux. La croissance de l’activité économique régionale est de plus en plus faible, l’emploi suit la même trajectoire, les dépôts de bilan d’entreprises continuent d’augmenter et l’encours de crédits bancaires baisse pour la première fois depuis quinze ans. Toutefois, les créations d’entreprises sont reparties à la hausse, le taux de chômage est au plus bas et les bénéficiaires du Revenu de Solidarité Active (RSA) sont moins nombreux.Au niveau sectoriel, le bilan est contrasté. L’industrie poursuit sa progression et retrouve son niveau d’emploi d’il y a vingt ans. Le secteur tertiaire est porté par le tourisme qui continue de bénéficier d’une fréquentation en hausse, à rebours de la tendance nationale. À l’inverse, la construction traverse une crise persistante. Le marché du logement neuf souffre, les permis de construire et les mises en chantier sont au plus bas, mais des signes d’amélioration apparaissent en fin d’année. Dans l’agriculture, des conditions météorologiques défavorables ont affecté la production et les prix, notamment des fruits et légumes d’été.
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En 2021, 152 000 personnes sont salariées de la santé en Provence-Alpes-Côte d’Azur, soit 6,7 % de l’ensemble des salariés. Au total, vingt et une professions médicales et paramédicales sont concernées. Il peut s’agir par exemple d’infirmiers, d’aides-soignants, de médecins ou de techniciens médicaux. À l’inverse de la France métropolitaine, la majorité des salariés de la santé exercent dans des structures privées. La plupart des médecins et des infirmiers travaillent toutefois dans le secteur public.Plus de huit salariés de la santé sur dix sont des femmes.Les salariés de la santé sont un peu plus souvent en contrat à durée déterminée et à temps partiel que l’ensemble des salariés et exercent plus fréquemment une activité non salariée en parallèle. En moyenne, ils perçoivent des salaires plus élevés que l’ensemble des salariés, mais de fortes disparités existent selon les professions. Les salariés de la santé cumulant avec une activité non salariée ont des revenus d’activité jusqu’à deux fois plus élevés qu’en l’absence de cumul.L’emploi salarié dans la santé est particulièrement présent dans les Hautes-Alpes, avec près d’un emploi salarié sur dix.
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En Provence-Alpes-Côte d’Azur, plus de 13 000 hectares d’espaces naturels, agricoles et forestiers ont été consommés entre 2011 et 2020. Près d’un quart – 3 100 hectares – l’ont été pour l’activité économique. Les bureaux (y compris administrations et santé) et les parcs photovoltaïques au sol représentent à eux seuls près de la moitié de la surface totale consommée par l’activité économique sur cette période.Le secteur des bureaux consomme de l’espace de façon homogène sur l’ensemble du territoire régional. Pour la moitié des intercommunalités de la région, ce secteur est le premier consommateur d’espace lié à l’activité économique. Presque aussi élevée, la consommation d’espace par le photovoltaïque se concentre quant à elle sur un petit nombre de communes, principalement des Alpes-de-Haute-Provence. Moins consommateurs au niveau régional, le transport-entreposage et l’hébergement-restauration ont toutefois nettement contribué à la consommation d’espace dans certaines intercommunalités.Tous secteurs confondus, les dynamiques de consommation d’espace liée à l’activité ne s’affaiblissent pas durant la dernière décennie.
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En Provence-Alpes-Côte d’Azur, la quantité de déchets ménagers et assimilés, hors déblais et gravats, s’élève à 638 kg par habitant en 2021, soit 16 % de plus qu’en France métropolitaine. Elle culmine notamment dans les territoires les plus touristiques.Le tri est sensiblement moins répandu dans la région qu’en France métropolitaine : les déchets ménagers y sont moins souvent collectés par tri séparé (bacs de tri et points d’apport volontaire) ou par apport en déchetterie. Le tri a toutefois progressé de plus de 20 % entre 2011 et 2021.Sur cette période, la quantité de déchets ménagers par habitant baisse de 2 % alors qu’elle augmente en France métropolitaine. En revanche, les déchets ménagers de la région demeurent nettement moins valorisés.
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En 2022, 59 % des établissements industriels de 20 salariés ou plus de la région ont engagé des dépenses pour réduire l’impact de leur activité sur l’environnement, pour un montant total de 197 millions d’euros. L’industrie chimique et pharmaceutique en a réalisé le quart, suivie des secteurs de l’énergie et de la métallurgie. Motivés par le cadre réglementaire environnemental ou incités par les coûts croissants de l’énergie, les investissements se concentrent sur les économies d’énergie et les énergies renouvelables, la protection de l’air et du climat et le traitement des eaux usées. Un établissement sur cinq ayant effectué une dépense antipollution a bénéficié d’une aide publique.
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En 2024, l’économie de Provence-Alpes-Côte d’Azur évolue dans un contexte national de ralentissement généralisé, et en suit les tendances même si elle résiste mieux. La croissance de l’activité économique régionale est de plus en plus faible, l’emploi suit la même trajectoire, les dépôts de bilan d’entreprises continuent d’augmenter et l’encours de crédits bancaires baisse pour la première fois depuis quinze ans. Toutefois, les créations d’entreprises sont reparties à la hausse, le taux de chômage est au plus bas et les bénéficiaires du Revenu de Solidarité Active (RSA) sont moins nombreux.Au niveau sectoriel, le bilan est contrasté. L’industrie poursuit sa progression et retrouve son niveau d’emploi d’il y a vingt ans. Le secteur tertiaire est porté par le tourisme qui continue de bénéficier d’une fréquentation en hausse, à rebours de la tendance nationale. À l’inverse, la construction traverse une crise persistante. Le marché du logement neuf souffre, les permis de construire et les mises en chantier sont au plus bas, mais des signes d’amélioration apparaissent en fin d’année. Dans l’agriculture, des conditions météorologiques défavorables ont affecté la production et les prix, notamment des fruits et légumes d’été.
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Au 1er janvier 2025, Provence-Alpes-Côte d’Azur compte 5,24 millions d’habitants. Sur les dix dernières années, la population progresse en moyenne de 0,5 % par an, plus vite qu’en France métropolitaine (+0,3 %).En 2024, les naissances diminuent, mais moins fortement qu’en 2023. Il faut remonter à 1983 pour observer un nombre de naissances aussi faible. Depuis deux ans, ce recul est plus marqué qu’en France métropolitaine. La fécondité s’établit ainsi à 1,67 enfant par femme alors qu’elle était supérieure à 2 enfants il y a dix ans.La population régionale vieillit mais le nombre de décès baisse à nouveau, après la forte hausse observée durant la crise sanitaire. Depuis 2022, l’espérance de vie à la naissance croît nettement, pour dépasser son niveau d’avant-crise sanitaire.Le solde des naissances et des décès est négatif pour la cinquième année consécutive.
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INSEE Données sociodémographiques par quartiers et arrondissements de Marseille
http://insee.fr/fr/statistiques/2385003
Un rapport sur les inégalités hommes - femmes à Paris, à lire.
https://www.apur.org/fr/file/52305/download?token=lcaX_G1s
Indice de Gini (indicateur d'inégalité de salaire)
https://www.inegalites.fr/Les-villes-les-plus-inegalitaires-de-France
Indice de fragilité de la population à Marseille
http://www.agam.org/fileadmin/ressources/agam.org/etudes/POP_MODES_DE_VIE/Indice_de_fragilit%C3%A9_-_%C3%A9tude.pdf
La géographie prioritaire à Marseille
http://www.polvillemarseille.fr/geographieprioritaire2014.htm
http://www.agam.org/fileadmin/ressources/agam.org/etudes/HABITAT/COHESION_SOCIALE/Etat_initial_de_l_observatoire_des_QPV_CT1_VF.pdf
Les équipements à Marseille
http://www.agam.org/fr/ressources-et-donnees/cartotheque/equipements.html
Laurine Farasse
Antoine Massiani
Laetitia Langlois