01 - Bienvenue au PUP
02 - Présentation du projet
03 - Plan d'aménagement
04 - Description du papillon
05 - Comment observer ?
06 - Le Pacha à deux queues
07 - Le Machaon
08 - Le Citron
09 - Le Vulcain
10 - L'Hespérie de l'Aigremoine
11 - Brun des pélargonium
12 - Hespérie de la Ballote
13 - Attirer les papillons
14 - Des habitats diversifiés
15 - La Chaine alimentaire au PUP
Affiche papillons du PUP
Cahier papillon en version imprimable
Comparaison des communautés de Lépidoptères entre un milieu urbain en gestion différenciée et le milieu naturel (2019)
Comparaison des communautés de Lépidoptères entre un milieu urbain en gestion différenciée et le milieu naturel (2019)
Type de ressource
- RapportsMaster
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Diffusion
Description
Il est admis que l’abondance et la richesse spécifique des Lépidoptères Rhopalocères varient le long d’un gradient urbain, et diminuent de la périphérie vers le centre. Dans ce contexte, nous avons comparé les communautés de Lépidoptères Rhopalocères entre un parc urbain en gestion différenciée (PUP) et le milieu naturel (Friche) à Marseille. Des échantillonnages en 2018 nous ont permis d’expliquer les variations globales et temporelles entre les deux sites, en termes 1) d’abondance, 2) de richesse spécifique et 3) de composition des communautés de Lépidoptères (AFC). L’analyse des données a démontré une abondance totale statistiquement supérieure à la Friche durant la période d’échantillonnage. Enfin, 13 espèces discriminantes ont permis d’expliquer les variations de communautés entre les deux sites, en lien avec la structure des milieux, la phénologie (plantes et papillons) mais également le régime alimentaire.
Auteur
Duque C., Giraldi J., Seguinel L.
Description du papillon
Description du papillon
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Fichier : DescriptionDuPapillon_fichier_description-du-papillon.pdf
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Diaporama soutenance "Comparaison des communautés de Lépidoptères entre un milieu urbain en gestion différenciée et le milieu naturel"
Diaporama soutenance "Comparaison des communautés de Lépidoptères entre un milieu urbain en gestion différenciée et le milieu naturel"
Type de ressource
- OrauxMaster
A destination de
Diffusion
Auteur
Duque C., Giraldi J., Seguinel L.
Fichier : DiaporamaSoutenanceComparaisonDesCommunaut_fichier_oral_duque_giraldi_seguinel.pdf
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Gradients d’urbanisation et suivi à long terme : quels apports pour la structuration spatiotemporelle des communautés de Rhopalocères en milieu urbain ? (2018)
Gradients d’urbanisation et suivi à long terme : quels apports pour la structuration spatiotemporelle des communautés de Rhopalocères en milieu urbain ? (2018)
Type de ressource
- RapportsMaster
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Diffusion
Description
L’urbanisation est un phénomène global qui s’accélère depuis la deuxième moitié du XXème siècle.
Pour mesurer et suivre ses effets sur la biodiversité, il est possible d’utiliser des indicateurs. Dans notre étude, les objectifs ont été de suivre la structure spatio-temporelle des communautés de papillons sur le long terme et, de mettre en évidence des espèces indicatrices permettant d’évaluer la qualité des parcs
urbains en lien avec leur aménagement et leur gestion. Le long du gradient d’urbanisation (de la
périphérie vers le centre-ville) et sur les 8 années de suivi (inventaires réalisés tous les 2 ans), nous avons observé une diminution stable dans le temps (8 ans) des communautés de papillons (termes d’abondance,
de richesse et de diversité spécifique). Nous avons constaté que la définition du gradient d’urbanisation
par des paramètres abiotiques comme la quantité d’habitats disponibles, l’isolement par rapport au
milieu naturel, et le degré de fragmentation n’expliquaient pas complètement la structure des
communautés. Une re-définition du gradient d’urbanisation selon des paramètres biotiques prenant en
compte l’abondance, la richesse et la diversité spécifique a alors permis de montrer l’influence de
facteurs locaux comme la diversité des habitats et la richesse floristique, sur la structuration des
communautés. Par ailleurs, nous avons observé que les espèces retrouvées en centre-ville sont des
espèces généralistes tandis que celles retrouvées en périphérie sont des espèces spécialistes. Nous avons
aussi mis en évidence l’existence de 3 espèces caractéristiques : Maniola jurtina caractéristique de la
périphérie, et Pararge aegeria et Polyommatus icarus caractéristiques de l’intermédiaire. Enfin, nous
avons observé que plusieurs espèces méditerranéennes inféodées aux espèces végétales
méditerranéennes notamment pourraient constituer de bons indicateurs pour évaluer l’aménagement et
la gestion mise en place et savoir si celle-ci favorise la biodiversité locale. Il s’agit de Gonopteryx
cleopatra, Libythea celtis, Charaxes jasius présentes en centre-ville et en intermédiaire et Pyronia
cecilia, Pyronia bathseba, Coenonympha dorus, Satyrium esculi seulement présentes en périphérie.
Pour mesurer et suivre ses effets sur la biodiversité, il est possible d’utiliser des indicateurs. Dans notre étude, les objectifs ont été de suivre la structure spatio-temporelle des communautés de papillons sur le long terme et, de mettre en évidence des espèces indicatrices permettant d’évaluer la qualité des parcs
urbains en lien avec leur aménagement et leur gestion. Le long du gradient d’urbanisation (de la
périphérie vers le centre-ville) et sur les 8 années de suivi (inventaires réalisés tous les 2 ans), nous avons observé une diminution stable dans le temps (8 ans) des communautés de papillons (termes d’abondance,
de richesse et de diversité spécifique). Nous avons constaté que la définition du gradient d’urbanisation
par des paramètres abiotiques comme la quantité d’habitats disponibles, l’isolement par rapport au
milieu naturel, et le degré de fragmentation n’expliquaient pas complètement la structure des
communautés. Une re-définition du gradient d’urbanisation selon des paramètres biotiques prenant en
compte l’abondance, la richesse et la diversité spécifique a alors permis de montrer l’influence de
facteurs locaux comme la diversité des habitats et la richesse floristique, sur la structuration des
communautés. Par ailleurs, nous avons observé que les espèces retrouvées en centre-ville sont des
espèces généralistes tandis que celles retrouvées en périphérie sont des espèces spécialistes. Nous avons
aussi mis en évidence l’existence de 3 espèces caractéristiques : Maniola jurtina caractéristique de la
périphérie, et Pararge aegeria et Polyommatus icarus caractéristiques de l’intermédiaire. Enfin, nous
avons observé que plusieurs espèces méditerranéennes inféodées aux espèces végétales
méditerranéennes notamment pourraient constituer de bons indicateurs pour évaluer l’aménagement et
la gestion mise en place et savoir si celle-ci favorise la biodiversité locale. Il s’agit de Gonopteryx
cleopatra, Libythea celtis, Charaxes jasius présentes en centre-ville et en intermédiaire et Pyronia
cecilia, Pyronia bathseba, Coenonympha dorus, Satyrium esculi seulement présentes en périphérie.
Auteur
Mélanie Ternisien
Fichier : GradientsDurbanisationEtSuiviALongTerme_fichier_m_ternisien_rapport_de_stage.pdf
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Panneau direction 1
Panneau direction 1
Type de ressource
- Prive
A destination de
Gestion
Fichier : PanneauDirection1_fichier_panneau_direction_pup-1.pdf
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Panneau direction 2
Panneau direction 2
Type de ressource
- Prive
A destination de
Gestion
Fichier : PanneauDirection2_fichier_panneau_direction_pup-2.pdf
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Papillons de France - Tristan Lafranchis
Papillons en ville, leur diversité provient-elle de la présence de leur plante hôte ? (2018)
Papillons en ville, leur diversité provient-elle de la présence de leur plante hôte ? (2018)
Type de ressource
- RapportsMaster
A destination de
Diffusion
Description
L’impact de l’urbanisation sur les communautés animales n’est plus à démontrer : on observe une sélectivité des espèces en fonction du gradient d’urbanisation. Chez les papillons de jour (Rhopalocères), cette sélectivité s’effectue en particulier par le biais de la disponibilité en habitats et des ressources trophiques (plantes hôtes et nectarifères). Une comparaison a été réalisée afin de tester l’aménagement et la composition en utilisant deux sites : le pup aménagé et la friche témoin. Pour cela, nous avons comparé les communautés de Rhopalocères et planteshôtes à l’aide d’indices de diversité et similarité, une AFC et un NMDS. Si un fond commun d’espèces existe entre le PUP et la friche, le PUP se distingue par l’absence de plusieurs espèces
méditerranéennes, bien que leurs plantes hôtes soient présentes. La structure du parc ou la dispersion des papillons pourraient expliquer cela.
méditerranéennes, bien que leurs plantes hôtes soient présentes. La structure du parc ou la dispersion des papillons pourraient expliquer cela.
Auteur
Foucart Fanny, Morando Marine
Fichier : PapillonsEnVilleLeurDiversiteProvientEll_fichier_rapport-m1-morando-foucart.pdf
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Plaquette de présentation
Plaquette de présentation
Type de ressource
- Livret
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Description
Fichier : LivretPedagogique_fichier_livret_final_2015-v2.pdf
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PUP2018
PUP2018
Type de ressource
- Prive
A destination de
Gestion
Fichier : Pup2018_fichier_pup2018-complet.pdf
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