Restitutions aux Populations à Niakhar

Restitution du projet ReSo 2017

Le projet de recherche sur les « Réseaux Sociaux et les Comportement de Santé à Niakhar » (LPED, URMITE, Université de Montréal, George Washington University) a été réalisé grâce à des enquêtes menées auprès de tous les ménages d'un des villages de l'Observatoire de Niakhar, entre 2012 et 2016. A travers un long questionnaire, toutes les interactions sociales des membres du village ont été reconstituées et leurs perceptions ainsi que leurs comportements de santé mesurés.
Suivant un processus participatif, des consultations ont été menées auprès des villageois qui ont manifestés leur intérêt à être informés des principaux résultats de cette enquête. Une restitution sous forme de causeries devant une série de posters a été organisée en 2 temps devant un groupe de femmes puis un groupe d'hommes les 24 et 25 octobre 2017.
Le matériel de restitution a été réalisé en collaboration avec l'Ecole d'études sociologiques et anthropologique de l'Université d'Ottawa.
Equipe d'organisation : Laetitia Douillot, Insa Diouf, Nathalie Mondain, Valérie Delaunay, Nicolas Rutherford, Yacine Boujija, Nathalie Tine, Jack Sandberg.

Les posters :
Poster_maladies_small.pdf (0.4MB)
Poster_planning_small.pdf (0.4MB)
Poster_prisededecision_small.pdf (0.4MB)
Poster_violence_small.pdf (0.2MB)
Reseaux_par_ideal_type_300ppp.pdf (0.6MB)

Les journées de restitution dans les villages 2015

Un documentaire réalisé conjointement par Nathalie Mondain (Université d'Ottawa), Valérie Delaunay (Institut de recherche pour le développement, France) et Amélie Salmon (Institut de recherche pour le développement, France) en 2015-2017 relate une expérience de restitution de 50 années de recherche dans le domaine de la démographie et de la santé en milieu rural au Sénégal. Les questionnements et défis ayant animé cette expérience sont discutés dans le film, à savoir en particulier : 1) comment expliquer qu'une expérience de partage de connaissances se voulant aussi participative que possible n'ait été mise en place qu'après des décennies de recherche ? Qu'est ce que cela signifie en termes disciplinaires et de relations entre chercheurs et participants ? 2) comment identifier les personnes ressources locales pour assurer une meilleure participation (active et aussi d'appropriation des informations diffusées) des populations à ces activités de restitution ? 3) en quoi cette expérience révèle le potentiel de changement social d'un processus de partage de connaissance participatif ?